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Je ne le savais pas !

Les nouilles ramen sont depuis longtemps un incontournable pour les étudiants, les professionnels pressés et tous ceux qui recherchent un repas rapide et économique. Cependant, derrière leur côté pratique et leur goût savoureux se cache un danger caché que beaucoup ignorent. Le principal problème avec les nouilles ramen n’est pas seulement leur forte teneur en sodium ou leur manque de valeur nutritionnelle, mais aussi un conservateur spécifique utilisé lors de leur production.
Le conservateur butylhydroquinone tertiaire (TBHQ) est un produit chimique qui peut présenter des risques importants pour la santé lorsqu’il est consommé en grande quantité sur une longue période. Comprendre les dangers potentiels associés au TBHQ est essentiel pour faire des choix alimentaires éclairés.
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Comprendre la butylhydroquinone tertiaire
La butylhydroquinone tertiaire, ou TBHQ, est un antioxydant synthétique utilisé pour prolonger la durée de conservation des aliments transformés en prévenant l’oxydation et la détérioration. On la retrouve couramment dans les aliments emballés, notamment les nouilles ramen, en raison de son efficacité à conserver les graisses et les huiles.
Bien que le TBHQ soit approuvé par les autorités de sécurité alimentaire pour une utilisation en petites quantités, des inquiétudes ont été soulevées quant à ses effets à long terme sur la santé. Il est important de noter que le TBHQ est dérivé du butane, un composé chimique présent dans l’essence à briquet, ce qui soulève des questions quant à son innocuité en tant qu’additif alimentaire.
Risques pour la santé associés à la butylhydroquinone tertiaire
Des recherches ont montré que de fortes doses de TBHQ peuvent entraîner divers problèmes de santé. Des études animales ont montré que le TBHQ pouvait provoquer une hypertrophie du foie, des convulsions et une paralysie.
Chez l’humain, une consommation excessive de TBHQ a été associée à un risque accru de développer certains types de cancer, ainsi qu’à des troubles neurologiques et comportementaux. Bien que les études directes sur l’humain soient limitées, certaines recherches suggèrent des risques potentiels pour la santé :
Potentiel cancérigène : Des doses élevées de TBHQ ont été associées au développement de précurseurs de tumeurs de l’estomac et de lésions de l’ADN dans des études animales, ce qui soulève des inquiétudes quant à son potentiel cancérigène chez l’homme.
Effets neurologiques et comportementaux : Le TBHQ a été impliqué dans des effets comportementaux, ce qui a conduit à son inclusion sur la liste « à ne pas consommer » du régime Feingold, une approche diététique pour gérer le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

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